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J079 /// La passe hante

30,00 €
Exemplaire unique

Cyprès des racines, la plante qui me pousse dans le cerveau s'interconnecte aux millions de neurones qui n'ont jamais su couper leur cordon d'avec la cellule mer, voyageant donc comme des gouttes de rosé sur une toile dont les ramifications elles-mêmes se dichotomisent à l'infini... centésimal, votre odeur n'a pas de pris parti pour un quant dira-t-on de clans mystérieusement sectaires dans l'air parsemé de fantômes et non de "ggrrrr" de haine, si mal conceptualisée qu'elle pourrait se suicider, comme un porc qu'on verra naitre, qu'une infime partie de lui-même si délibérément que son salut salutaire lui vaudra la parole cousue de fil rouge sans guignol lent sur son lit de mort tu ères; cadavre penché traquant les détraqués du soul sol imbibé de air... Hum. Bon, si ça ça vous dit pas, ou si même ça bondit pas dans le crépuscule des pustules étincellantes bombardées par des Coli postés dont ne sait où à la saison des tords ou raison. La maison, ne sert plus d'asile aux souls dont l'haleine chargée de meaux vient de passer, son chemin se termine en passante pas si lente depouis qu'elle les clauserait dans l'eaumme aux sept sapiens. Elle est partie, remise à d'autres ânes pateuses qui paressent, eux, non pas des nuées de septième sens, suant des gouttes de l'anti corps à gluant viscoseusement aggripé au "M" assis sur leur deux pères de fesses faiblissantes devant l'invisible spectacle de leur vie sans sel. Braises de brèves grisonnantes, cardiaque et bêtes diaboliques, lèchez-moi le cerf veau rat qui ne mollit pas. Aussi, boulot des boulettes qui mouillent et pètent le feu sans foi et ni loi pour le con... sommes-nous ? La fin des buts.

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