Back to top

Mucus party : comment faire ?

Je me suis retrouvé la dernière fois à cracher des tonnes de mucus, vers 2h du matin, et analyser la situation… Ma sinusite/rhinite chronique ne s'est jamais aussi bien portée… Pourquoi ? Comment ?

Trop manger : mode d'emploi

On a fait une soirée tapas la dernière fois, avec quelques amis. J'ai mangé comme quatre. Et je n'étais pas le seul ! Alors qu'il y en a encore qui crèvent de faim dans le monde, certains, comme moi ce soir là, arrivent encore à trop manger (d'autres en meurent même tous les jours, comme les obèses avec leur maladies cardio-vasculaires et diabètes). Bref, après cette soirée, j'ai le ventre éclaté : je suis comme une femme enceinte, et on dirait que je vais mettre bas ma propre déchéance. Je dors (enfin j'essaie) avec plein de coussins derrière le dos car je sais très bien que je dois roter pour m'en sortir et éviter les reflux acides gastro-oesophagiens. Mais comment ai-je pu manger autant ? Mode d'emploi :

  • d'abord, préparer trop de nourriture par rapport au nombre de personne. Mais cela ne suffit pas, après tout, j'aurais pu en garder pour le lendemain, non ?
  • proposer de la nourriture bonne, voire "gourmande". C'est sûr, quand c'est bon, on a vite fait d'en reprendre "par gourmandise". Comme des gosses. N'avons-nous donc pas appris de nos erreurs ? Ne savons-nous donc pas nous arrêter ?
  • manger sucré : le sucre ajouté, que ce soit dans un dessert ou un plat industriel, augmente les quantités ingérées, car ils rend les plats plus "gourmands". Dernière ce terme anodin employé parfois dans des émissions culinaires fameuses ou fumeuses, se cache en fait une partie de l'origine de l'obésité mondiale. Le sucre non seulement fait manger davantage, mais aussi, se transforme en graisse quand il est assimilé en excès. Dans le cas particulier de cette soirée, c'est le dessert, une superbe tarte poire-chocolat qui a amené la plus grande partie de sucre, en même temps qu"une bonne partie de blé et de lait sous forme de beurre. Le gâteau est-il une arme de destruction massive ? Les boulangeries-pâtisseries ont pullulé ces dernières années : elles ont compris que les gens sont accros au pain, mais encore davantage au mixe sucre-gras-blé des pâtisseries*. Bien sûr, une pâtisserie /mois ne va pas nous tuer et nous réagissons tous différemment au coté addictif des choses sucrées, mais avec ce que je viens de dire ci-dessus, c'est le genre d'aliment… qui n'en est pas un. Je ne vois plus du tout en fait quels éléments positifs peuvent apporter les gâteaux et les pâtisseries… Apportent-ils des vitamines ? Des fibres ? Des micro-nutriments ? Ou apportent-ils seulement une dose de cette drogue qu'est le sucre, avec deux doses de mucus dûes à la fois au gras d'origine animal et au blé au gluten ?
    A ce stade, il vaut mieux manger une poire avec un morceau de chocolat : exit le gras et le sucre de la pâte feuilletée, on se limite à une seule poire, dont on assimile davantage de vitamines, de fibres, de micro-nutirments. Mais ce n'est absolument pas le but des industriels ou des pâtissiers. Le mieux, c'est qu'on s'en gave, qu'on en devienne accros, et, comme pour les médicaments et les laboratoires pharmaceutiques, qu'on en consomme le plus longtemps possible et le plus longtemps possible. Autrement dis : mange et tais-toi !
  • manger selon un mode tapas : tout est disposé sur la table. On n'a pas d'assiette, on tape donc par-ci et par-là, et on a aucun contrôle de ce que l'on mange réellement. Si je mettais dans une assiette tout ce que j'ai mangé ce soir-là, je crois que je la diviserais par deux ou trois pour revenir à une assiette "normale".
  • picoler en même temps : on perds un peu la notion de l'espace temps, on mange pendant des heures, sans oublier que l'alcool va en général (sur moi en tous les cas) faire gonfler le ventre : ballonement, nous y voilà !

NB:

  • Trop manger diminue l'espérance de vie : les centenaires d'Okinawa (l'île japonaise) mange à 80% de satiété, c'est à dire qu'il sortent de table en ayant encore une petite faim. Ils ont mangé environ 80% de la quantité qu'ils auraient pu manger pour ne plus avoir faim. Quand on n'a plus faim, on a souvent déjà dépassé notre besoin naturel, en quantité du moins. Reste à voir la qualité.
  • Manger dans des bols avec des baguettes permet de manger moins vite (et donc mâcher davantage = pré-digérer) et permet de mieux contrôler les quantités ingérées, ce qui n'est pas le cas d'une assiette où l'on peut entasser des tonnes d'aliments. Beaucoup plus que ce que notre estomac devrait recevoir (je parle d'aliments solide).
  • * une émission d'Arte sur le sucre disait que notre corps sait analyser quand l'aliment est trop gras OU trop sucré, et s'arrête d'en consommer. Mais quand cet aliment est aussi gras que sucré (comme les pâtisseries ou pâte  tartiner…), notre corps ne sait pas s'arrêter. Il ne comprends pas que cet aliment est à la fois trop gras et trop sucré : on s'empiffre. Par faim au début. Par gourmandise ensuite. Et pour cause : un tel aliment n'existe pas dans le milieu naturel. Ou devrais-je dire une telle abomination…?

Dans mes sinus, c'est mucus party ! Et vous ?

Ce mucus est à l'origine de ma rhinite/sinusite chronique. La médecine occidentale basique dit que l'origine est allergique ou idiopathique : "on ne sait pas d'où ça vient monsieur, c'est idiot, hein ?". Dans cette histoire, il y a donc bien deux idiots. En fait c'est à mon humble avis ni l'un ni l'autre : c'est "juste" de l'intolérance alimentaire. Trop de gluten et de produits laitiers (sous quelque forme que ce soit : du yaourt au fromage en passant par le lait, même si plus le lait est transformé, sans pasteurisation, et moins il contient de lactose résiduel). Et sans doute pas assez d'aliments "normaux" pour notre statut de primate : des légumes, des fruits, des graines et quelques produits d'origine animale.

J'ai tellement de mucus dans les nasaux que je me suis toujours demandé si je n'avais pas une forme bénigne de mucoviscidose (mais oui, je sais, c'est génétique, dit-on ; augmentation de la viscosité du mucus et son accumulation dans les voies respiratoires et digestives.)… Ça doit être, dira-t-on, mon coté hypocondriaque et déformation professionnelle de véto. Bref, parfois à la piscine, je manque d'air, je racle ma gorge, renifle, avale tant bien que mal tout ce mucus qui remonte ou sort de mes sinus. Et ça a toujours fait ça en fait. Toute ma vie, à chaque fois que j'ai fait du sport (du vtt, course à pied, et didgeridoo avec respiration continue), eh bien je me suis vu cracher. Beaucoup. À un moment, je me suis dit que c'était normal, que le sport  faisait du bien etc. Mais force est de constater que dès que je fais la chandelle en yoga, j'avale du mucus (quand je ne m'étouffe pas) qui provient de mes sinus. Comment savoir si un a une sinusite ? On avale parfois, dans la journée, lors de sport etc. du mucus, de la glaire qui provient des sinus (au dessus du palais donc) dans le fond de notre gorge. C'est une sinusite chronnique, même sans infection ou maux de tête.

Comme d'habitude, la médecine occidentale est en partie nulle à expliquer ces sinusites chroniques dont l'origine serait "allergique, notamment à certains champignons. Ceci explique que certains traitements anti-fongiques seraient capables de diminuer les symptômes des patients". Super. Point. La médecine toute puissante a trouvé son bouc-émissaire sans se sortir les doigts du cul : c'est les champignons. Elle ne cherche pas plus loin et, comme à son habitude, ne se pose qu'une seule fois la question "Pourquoi", comme si c'était tout à fait normal d'avoir des champignons dans le nez. Comme le traitement allopathique est presque toujours symptomatique et ne traite pas la cause réelle (provenant souvent de notre alimentation ou mode de vie), notre maladie revient, devient chronique. On finit alors souvent avec des anti-inflammatoires de manières chronique… Super…

Mais si l'on pousse un peu, on se demande alors "Pourquoi j'ai du mucus ou des champignons dans le nez ?" :

  • piste 1 : parce que notre immunité est faible. Pourquoi ? Parce que nous sommes fatigués. Pourquoi ? Surmenage-stress-manque de repos. Pourquoi ? Parce que notre mode de vie est hyper-speed. Pourquoi ? Parce que nous sommes rentrés dans le moule du métro-boulot-dodo. Pourquoi ? Parce que nous y avons été éduqué.es : tu dois travailler pour gagner de l'argent, pour acheter de la nourriture et payer ton loyer. Pourquoi ? Parce que la société de consommation fonctionne ainsi et que c'est le seul modèle qu'elle propose. Pourquoi ? Parce que la société et les lois sont dictées toujours par les même politiciens qui sortent toujours des mêmes écoles butées comme l'ENA. ETC, mais c'est aussi parce qu'on le veux bien. À chaque réponse, on peut faire un autre choix : changer de métier, travailler moins, dépenser moins en alimentation et loyer, voter différemment (pour une personne non issue de l'ENA, ou simplement avec nos choix d'achats, de vie…)…
  • piste 2 : parce que nous avons trop de mucus, et qu'il faut bien que quelqu'un s'en charge : les champignons, plus ou moins aidés par les bactéries, y ont trouvé un formidable milieu de vie (chauffé en plus). Pourquoi a-t-on trop de mucus ? Parce que nos muqueuses sont inflammées (toute maladie dont le nom finit en "ite" est une inflammation aiguë : endocardite, arthrite, sinusite… ou parfois en "ose" quand c'est devenu chronique, comme arthrose…). Pourquoi ? Parce que le milieu extérieur est néfaste (poussière ou gaz irritants…) ou le milieu intérieur n'est pas adapté. Pourquoi ? Parce que notre immunité ne sait plus ou donner de la tête à cause des perturbations dues à l'ingestion de lactose et caséine (du lait et dérivés) et de gluten (toutes les céréales) en quantité non gérable par notre organisme. La plupart des humains ne digère pas le lactose du lait (et dérivés laitiers qui ne sont pas nos amis, mais bien nos ennemis pour la vie). Celui-ci se retrouve donc dans nos intestins sans être absorbé et il est alors digéré par des bactéries en donnant des gaz à l'origine de ballonnements. Mais cela n'explique pas le mucus… Ce mucus est une réponse inflammatoire à l'introduction dans notre organisme de molécules allergènes comme certaines protéines du lait ou du gluten (qui a augmenté la perméabilité de notre intestin en même temps).

Septique ? Essayez et analyser les résultats…

Au bout d'un moment, il faut arrêter de lire ce que disent les autres, et ne pas y croire tant que nous n'avons pas testé sur nous-même ces éventuelles solutions alimentaires : et si j'arrêtais le lait, pour voir. Et si j'arrêtais le blé (voire toutes les céréales tant qu'à faire) ? Et que je regarde ce qui se passe sur mon corps, sur ma "maladie". Cette maladie qui n'est, encore une fois qu'un ensemble de symptômes, qui sont souvent des sonnettes d'alarme de notre corps pour nous dire que nous sommes sur la mauvaise voie, ou qui sont autant de tentative de notre corps d'éliminer des toxines que nous ingérons d'une manière ou d'une autre (aliments, air, et même toutes les mauvaises vibrations de personnes toxiques que l'on a parfois dans notre entourage…).

Comment savoir s l'on est intolérant alimentaire ? Et à quoi ?

  1. se rendre compte de notre mal-être : se rendre compte par exemple que nous avons une sinusite chronique ou toute autre "maladie". Il faut savoir se poser et écouter ce qu'a à dire notre corps, à travers ses symptômes : douleur, rougeur, inflammations mucosales, ballonnements, diarrhée/constipation… Lister les symptômes sur un bout de papier.
  2. apprendre à quantifier ce mal-être : par exemple pour la sinusite : nez fortement bouché ou débouché, fréquence du mouchage, du crachat/toux/raclage de gorge, ou pour l'arthrose : douleur, gêne, craquements…
  3. arrêter strictement les allergènes : comme on l'a vu, les principaux allergènes sont d'une part le lait et ses dérivés, et d'autre part le blé et ses assimilés (les céréales en général : seigle orge, mais on peut aussi inclure l'avoine…). Si l'on décide de suivre un régime d'éviction, mieux vaut :
    • le faire de manière stricte : éliminer toutes les céréales et donc bien savoir où elles se cachent. On peut momentanément vider nos placards des céréales, ce qui a l'effet bénéfique de comprendre à quel point on se gave de céréales, et bien comprendre.
    • le faire sur au moins 10 jours pour se rendre compte des conséquences sur nos symptômes. Il faudra parfois plus de temps pour que notre inflammation diminue réellement et que notre corps ait le temps de bien nettoyer tous les allergènes restant. À ce propos, il peut être intéressant de ne pas négliger le repos, voire les jeûnes et ou l'activité physique et les massages : notre corps se nettoie quand il n'est pas en train de faire autre chose (repos et jeûne) et l'activité physique (modérée) aide à faire circuler le sang et la lymphe qui sont les voies de nettoyage.
  4. faire le bilan : au bout de 10 jours ou davantage, où en sont nos symptômes ? Est-ce que l'on respire mieux ? On craque moins des articulations ?
  5. tester la réintroduction d'un allergène : soit la démonstration suffit et il est inutile de se remettre à consommer du blé, du lait etc. Soit vous voulez une confirmation de l'allergène : après avoir bien regardé où vous en étiez de vos symptômes, vous mangez à nouveau du lait, ou du blé ou du sucre/gâteaux etc. Le constat peut être rapide ou prendre quelques heures / jours : les symptômes reviennent. Ne pas tester tous les allergènes en même temps, car sinon on ne saura pas lequel est responsable.
  6. prendre ses dispositions pour notre nouvelle vie : continuer et persévérer dans nos efforts de manger uniquement ce qui est bon pour nous  (ça, c'est à vous de trouver ce qui est bon pour vous, et qui peut changer d'une saison à une autre, ou en fonction de l'âge ou de votre condition physio-pathologique comme être malade ou pas, être enceinte, faire beaucoup de sport etc). Ne pas se décourager si on fait une exception (un gâteau par ci, un peu de fromage, ou lors de repas chez des amis) : oublier et reprendre nos bonnes habitudes comme si de rien n'était, sans se culpabiliser outrance. A ce stade, il faut savoir être têtu.e, prendre et avoir confiance en soi et suivre la discipline qu'on s'est tracée. Car la (mauvaise) tradition et la bienséance sont très fortes dans notre pays où le fromage-pain-vin et le petit déjeuner pain-pâtisserie-lait-confiture sont aussi indissociables de la France que Jésus de sa croix. On vous fera donc les gros yeux quand vous ne mangerez pas comme les autres, de la glue sucrée plongée dans du lait. Mais votre choix est fait. Vous pouvez l'expliquer et ce sera de plus en plus compris et même de plus en plus bien vu : comme pour le tabac, la révolution est en marche et le lait, le blé, le sucre et leur dérivés ou assimilés ont fini leurs heures de gloire où on les assimilait à calcium ou énergie. Tout cela est révolu. Ces aliments ne sont pas humains. Nous sommes faits pour manger des légumes, des fruits, des graines et un poil de protéines animales (viandes de petits animaux, insectes…). Notre corps n'est pas adapté à manger tout le reste. On nous le fait croire à grand renfort de publicité (et quand il y a publicité, il y a entourloupe).
  7. résister au partage vicieux : les personnes qui sont accros à l'alcool ou au sucre auront vite fait de vouloir partager ce moment de consommation, pour se dédouaner et se donner bonne conscience : "allez, tu vas bien boire un petit coup avec nous ?? Allez ! On se prend un dessert ? Allezzz… On se prend une part pour deux ?". Savoir dire non, c'est leur renvoyer en pleine figure leur propre dépendances et paradoxes. Je trouve personnellement que c'est dans ces moments là (que je n'affectionne pas d'ailleurs car ils sont souvent synonyme d'orgie, de trop) que je trouve le plus difficile de dire non. Car Les gens ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre. Souvent, au fond d'eux-même, ils savent que ce n'est pas bon, mais insistent, poussés par les traditions, par l'apparence qu'il donnent d'eux, ou par leur propre dépendance. Il n'y a rien de pire, dans ces cas là, d'inviter à une soirée un.e ami.e qui a un penchant pour l'alcool, qui arivera forcément avec "une bonne bouteille"… A moins de lui donner justement le "bon" exemple. En resplendissant, en étant moins déprimé, en ayant plus d'énergie vitale, vous montrerez les effets de l'arrêt de ces armes de destruction massive que sont l'alcool, le sucre et le gluten. Votre bonne santé à toute épreuve est la preuve vivante du bienfait de votre nouvelle alimentation saine. Soyez forts, imperturbables dans vos convictions. Intangibles. N'hésitez pas à faire des soirées OFF, sans alcool, et à faire une slade de fruits pour le dessert (qu'on devrait d'ailleurs mieux manger avant si les autres plats sont à base de céréales).

Régénère : comment libérer votre corps de tout ce mucus ?

Éliminer les allergènes est la première étape, mais en attendant que vos corps nettoie le reste d'allergènes et que l'inflammation diminue, il peut être intéressant d'aider notre corps à éliminer le mucus, grâce à des jus proposés dans la vidéos de Thierry Casasnovas ci-dessous. Personnellement, même si je comprends tout à fait l'utilisation de jus, je préfère manger et croquer, et ne pas m'encombrer d'un extracteur de jus.

Le jus est donc composé de mandarine, cresson, persil, épinard et/ou (un peu moins rude) pomme, roquette, persil, épinard, aliments que l'on peut intégrer/privilégier dans ses salades ou autre repas, en biologique si possible. On ajoutera du curcuma et du gingembre car ce sont de très bons anti-inflammatoires.

Vous êtes tout puissant.e et n'êtes pas… un veau !

Gardez toujours à l'esprit que le maître, c'est vous : vous et vous seul.e savez ce qui est bon pour vous, au delà de toutes les recommandations d'Obo, de Régénère, du Pr. Joyeux, de toutes les publicités papier ou numériques, au delà même des traditions de votre pays d'origine, au delà des revendications de l'OMS ou de votre médecin (dont les principes remontent parois à la nuit des temps ou justement au moment où les lobby pharmaceutiques ont pris le pouvoir de notre santé)…

Intérieurement, vous savez : votre corps sait ce qui est bon pour lui ! En mettant de côté toutes les revendications extérieures citées ci-dessus, vous savez, à l'intérieur, ce qui est bon pour vous. Vous savez que vous n'êtes pas un veau se nourrissant de lait de vache. Vous savez que vous n'êtes pas un cheval à qui l'on fera avaler de l'avoine tous les matins. Vous savez qu'en consommant de l'alcool, en mangeant des sucreries et autres gâteaux vous allez avoir une déprime le soir ou le lendemain. Vous savez que lorsque vous mangez trop de pâtes et autres céréales, vous vous sentez lourds, alors que les légumes allègent votre corps, votre transit et votre esprit. Vous savez que les fruits, les légumes et les graines sont essentiels à votre bonne santé. Et un chouilla de viande ou assimilé.

Maintenant que vous savez, vous avez deux options :

  • ne rien changer, et ainsi aller contre la connaissance du corps et du coeur, et donc stresser intérieurement tout en augmentant l'ingestion de drogues telles que l'alcool ou le sucre pour oublier ce que vous dit votre corps/coeur. Cela peut durer longtemps, jusqu'à votre prochaine prise de conscience, jusqu'à votre prochain infarctus, votre prochaine dépression, votre prochaine bronchite… Je ne veux pas ici jouer sur la peur de la maladie, qui, encore une fois n'est qu'une sonnette d'alarme qui vous invite à changer de mode de vie (alimentaire mais pas que). Donc posez-vous 10 minutes. Maintenant. Analyser votre corps, vos symptômes, votre bien-être mental, votre environnement. Comprenez quels changements seraient nécessaires à l'amélioration de votre bien-être global, et…
  • changer et retrouver/augmenter votre santé et bien-être, votre énergie, votre joie de vivre… Il s'agit dans ce cas d'y aller doucement ou un peu plus brusquement si vous êtes devant le mur d'une maladie imposant un changement rapide. Changez. Et regardez. Et profitez. Revenez éventuellement en arrière, et regardez à nouveau. Et changez à nouveau. La vie est impermanente.

 

Je vous souhaite de retrouver la force, l'instinct et… l'alimentation du singe.

Utiliser cette image ? › Contactez-moi

up