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Julia Pastrana

220,00 €
Exemplaire unique

Les Éditions terriennes remettent le couvert avec un fanzine intitulé "Freaks pulsion". Si mon illustration passe les tests qualité ^^', elle paraîtra donc en Septembre et sera dévoilée ici en totalité.

Cette illustration (dont le bas sera dévoilé en Septembre donc), est basée sur une histoire vraie, dans le milieu des Freak Show, spectacle forain montrant des freaks, des "monstres humains", atteint le plus souvent de maladie génétiques, dégénératives, mentales...
J'ai mis beaucoup de temps à réussir à pondre cette illustration, et j'y suis arrivé seulement après avoir écrit une petite nouvelle... le début d'un scénario BD ?? J'aimerais bien ! RDV en septembre...

Avec mon passé de véto et une certaine passion -il faut bien le dire- pour la biologie, la tératologie m'a toujours fait de l'œil, mélangeant ainsi biologie, mental et bizarre, ce sur quoi la série X-Files s'est construite pendant des années... J'adore ! Même si, effectivement, être atteint soi-même ou avoir des enfants atteints de malformation congénitale, ça doit pas ête facile tous les jours, hein...

Une des saisons d'American horror Story s'appelait Freak show, et reprenait comme une sorte d'hommage amélioré, des éléments du film Freaks = La monstrueuse parade en français...

Julia Pastrana, la femme singe (› wikipedia)

Dessin librement inspiré de la vie de Julia Pastrana (1834, au Mexique - 25 mars 1860, à Moscou) qui a été connue comme « la femme-singe » ou « la femme la plus laide du monde ».

Le lieu de naissance de Julia Pastrana n'est pas clairement connu. D'après certains rapports, Theodore Lent aurait trouvé dans une grotte, en compagnie de sa mère, un enfant souffrant d'hypertrichose universelle congénitale terminale (CGHT)1, et l'aurait acheté à sa mère dans le but de l'exhiber en public. Par la suite, Julia put apprendre à chanter, à danser et à s'exprimer dans trois langues, à l'écrit et à l'oral.

Julia Pastrana, dont la taille était de 1,34 m environ, présentait d'autres particularités, outre sa forte pilosité. Elle avait des oreilles extraordinairement développées, un grand nez, une mâchoire fortement prognathe et, à ce que l'on raconte, deux doubles rangées de dents. Theodore Lent souhaitait l'exhiber en public sur les trois continents en tant que « femme-singe ».

Le fait qu'elle fut mariée n'est pas vérifié. Quoi qu'il en soit, au cours d'une tournée à Moscou, elle donna naissance le 20 mars 1860 à un enfant, atteint, lui aussi, d'hypertrichose, qui mourut peu après la naissance. Julia Pastrana ne lui survécut que de quelques jours.

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